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VOCES8: The Deer's Cry – Arvo Pärt





* O link do vídeo está no final desse post.

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VOCES8 performs ‘The Deer’s Cry’ by Arvo Pärt at St Vedast Church in London.

The track forms part of the ensemble’s 15th anniversary recording project, ‘After Silence’, and can be found on all digital music platforms. For more information about the album project, visit www.voces8.com/aftersilence

Audio available at https://orcd.co/end4pyk

Text:
Christ with me, Christ before me, Christ behind me,
Christ in me, Christ beneath me, Christ above me,
Christ on my right, Christ on my left,
Christ when I lie down, Christ when I sit down,
Christ in me, Christ when I arise,
Christ in the heart of every man who thinks of me,
Christ in the mouth of everyone who speaks of me,
Christ in every eye that sees me,
Christ in every ear that hears me,
Christ with me.

Text from Saint Patrick’s Breastplate

Vídeo

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49 Comentários

  1. The soul is touched by these words and voices. The first instrument is the voice with its depth and nuance. Only God creates this beauty, for god resides in us….

  2. Lyrics

    Christ with me, Christ before me, Christ behind me,

    Christ in me, Christ beneath me, Christ above me,

    Christ on my right, Christ on my left,

    Christ when I lie down, Christ when I sit down,

    Christ in me, Christ when I arise,

    Christ in the heart of every man who thinks of me,

    Christ in the mouth of every man who speaks of me,

    Christ in every eye that sees me,

    Christ in every ear that hears me,

    Christ with me.

  3. Biographie

    Arvo Pärt naît à Paide, ville située à environ 90 km au sud-est de Tallinn. Ses parents, August Pärt (1899 – 1972) et Linda-Annette (née Mäll ; 1907 – 1991), divorcent alors qu'il n'a que trois ans et sa mère l'emmène vivre chez son nouveau compagnon à Rakvere, au nord-est de l'Estonie. Là, entre sept et huit ans, il suit des cours de musique après l'école et apprend les bases du piano et de la théorie musicale. À la maison, il ne dispose que d'un vieux piano à queue dont seuls les registres extrêmes peuvent être joués convenablement ; cela le pousse à l'expérimentation et à inventer ses propres œuvres1.

    Adolescent, Arvo Pärt écoute toutes sortes de musiques à la radio mais il est plus particulièrement intéressé par la musique symphonique. Il écoute notamment les programmes de la Radio finlandaise qui pouvaient être captés assez clairement dans le nord de l'Estonie. On raconte même qu'il tournait en rond sur la place de la ville alors que les concerts symphoniques y étaient diffusés via des haut-parleurs1, à vélo, pour ne pas rester statique et ne pas éveiller les soupçons2.

    Bien que le piano soit son instrument de prédilection et qu'il en joue parfois en concert comme accompagnateur, il pratique aussi le hautbois dans l'orchestre de son école, les percussions dans un groupe de danse et chante dans le chœur de son école. Progressivement, il passe des improvisations au clavier à des compositions plus formelles qu'il commence à noter vers quatorze ou quinze ans. Vers ses dix-sept ans, il présente Meloodia, pièce pour piano qu'il compose pour un concours de jeunes artistes. Sa pièce est remarquée mais, sans doute à cause d'un manque évident de racines ou d'influences estoniennes, il ne remporte aucun prix. Arvo Pärt se rappelle qu'elle était dans le style de Rachmaninov mais qu'elle n'avait rien de personnel1.

    Arvo Pärt entre en 1954 à l'École secondaire de musique de Tallinn et compte parmi ses professeurs Harri Otsa. Il y étudie la théorie musicale, la composition, le piano, la littérature musicale, l'analyse et la musique populaire. Cet apprentissage est interrompu après quelques mois seulement par le service militaire obligatoire au cours duquel il joue de la caisse claire et du hautbois dans la fanfare. Ces deux années sont vécues comme une souffrance et il contracte une maladie rénale qui compromettra sa santé pendant plus de dix ans. Il retourne à l'École secondaire de musique de Tallinn pour l'année scolaire 1956-1957 avec Veljo Tormis pour professeur et assimile facilement toute idée nouvelle (dont le dodécaphonisme), particulièrement le peu de musique occidentale qu'il peut entendre. Il fait déjà preuve d'un talent évident et naturel pour la composition ; un de ses compagnons d'étude, Ave Hirvesoo, déclare même qu'il « semblait secouer sa manche et des notes en tombaient »1.

    Il entre au conservatoire de Tallinn à l'automne 1957 où il étudie avec Heino Eller. Les programmes obligatoires comportent également l'économie politique, l'histoire du Parti communiste et la « science de l'athéisme ». Parallèlement, il trouve un emploi d'ingénieur du son à la radio estonienne, poste qu'il occupe de 1958 à 19673. En 1962, l'une de ses compositions écrite pour chœur d'enfants et orchestre, Notre jardin (1959), le fait connaître dans toute l'Union soviétique et lui permet de remporter le Premier Prix des jeunes compositeurs de l'URSS4. À cette époque il est quelque temps directeur musical du Théâtre des Pionniers de Tallinn et compose de la musique pour le théâtre, particulièrement des pièces pour les enfants et les marionnettes (Quatre danses faciles pour le piano, Cinq chansons enfantines) ; il reçoit également de nombreuses commandes de musiques de film. Quand il sort diplômé du conservatoire de Tallinn en 1963, sa carrière professionnelle de compositeur est déjà bien amorcée1.

    Au début des années 1960, Arvo Pärt s'initie à la composition sérielle, dont relèvent ses deux premières symphonies ; cela lui attire immédiatement d'importantes inimitiés, la musique sérielle étant considérée comme un avatar de la décadence bourgeoise occidentale. Tout aussi incorrectes politiquement dans le contexte soviétique, ses compositions d'inspiration religieuse, ainsi que sa technique du collage un temps utilisée, limitent considérablement le rayonnement de son œuvre5.

    En 1968, en proie à une crise créatrice, et à la suite de la censure par le régime communiste de son œuvre Credo6,5, Arvo Pärt renonce au sérialisme et plus globalement à la composition elle-même, et ce durant une dizaine d’années, temps qu'il consacre à l'étude du plain-chant grégorien et à celle de compositeurs médiévaux français et flamands tels que Guillaume de Machaut, Ockeghem, Obrecht et Josquin des Prés3. Ces études et réflexions aboutiront à l'écriture d'une pièce de style intermédiaire, la Symphonie no 3 (1971).

    Son évolution stylistique est notable en 1976 avec la composition d'une pièce pour piano devenue célèbre, Für Alina, qui marque une rupture avec ses premières œuvres et qui pose les jalons de son nouveau style, qualifié par lui-même de « style tintinnabuli »4,5. L'auteur l'explique ainsi : « Je travaille avec très peu d'éléments – une ou deux voix seulement. Je construis à partir d'un matériau primitif – avec l'accord parfait, avec une tonalité spécifique. Les trois notes d'un accord parfait sont comme des cloches. C'est la raison pour laquelle je l'ai appelé tintinnabulation ». L'année suivante, Pärt écrira dans ce nouveau style trois de ses pièces les plus importantes et reconnues : Fratres, Cantus in Memoriam Benjamin Britten et Tabula rasa.

    En 1980, accompagné de sa famille, il quitte son pays où il est en proie à la censure4 pour Vienne où il obtient la nationalité autrichienne. L'année suivante il part pour Berlin-Ouest5. De fréquents séjours le conduisent près de Colchester dans l'Essex. Il revient ensuite en Estonie et vit désormais à Tallinn. Son succès jamais démenti dans tout l'Occident, et particulièrement aux États-Unis5, a pour inconvénient de le ranger dans la catégorie des compositeurs « minimalistes mystiques », avec Henryk Górecki et John Tavener. En 1996, il devient membre de l'Académie américaine des arts et des lettres.

    Créateur d'une musique épurée, d'inspiration profondément religieuse — il est de confession chrétienne orthodoxe, et les chants orthodoxes ainsi que les chants grégoriens ont influencé son style sur la modulation lente des sons5 —, associée par certains à la musique postmoderne, Arvo Pärt creuse également le sillon du style tintinnabuli. Ses œuvres ont été jouées dans le monde entier et ont donné lieu à plus de 80 enregistrements, ainsi qu'à de très nombreuses utilisations pour l'illustration sonore de films et de spectacles de danse.

  4. Outstanding…..pure beauty……lifts you to some spiritual plane where there is peace……..

  5. So exquisite, the core of our heart, the essence of the essence of our Being: Christ in Me ….. every word and tone resonates there where we are One

  6. Strange , wonderful, mysterious, one feels the fear, the plea, the prayer… Lovely voices… thank you!

  7. I wonder, is there an explanation for this amazing affinity of the British with choir music? Just as the Russians and Ukrainians (now in war alas) have a long tradition of producing amazing pianists, for example.

  8. Amazing. The British truly can sing in choirs, I am often deeply impressed by how they interpret songs, often composed by composers foreign to the UK… It blows me away…. Some years ago also heard some Bach interpretation… Brought me to tears.

  9. Until I looked at the words, I didn't realize this was the same text source (St. Patrick's breastplate) as another choral great, Prayer of St. Patrick, which was set by John Rutter. To very different settings of similar text. I love them both. If you haven't heard Rutter's setting, check it out. Cheers.

  10. I'm not a Christian. But (and I'm saying this half-jokingly) sometimes I come upon a piece such as this that tempts me to convert. 🙂

  11. "Seek ye the Lord while he may be found, call ye upon him while he is near." Isaiah 55:6 KJV You are not promised tomorrow, seek Jesus Christ while you still can.

  12. This is phenomenal. The perfect blending, timing, and most importantly (in my opinion), intonation brings me the catharsis every Pärt composition should. The septimal dominant sevenths evoke a feeling that's hard to describe: a mix of calming, liberating resonance and deadpan, alien uneasiness and simple pleading. It feels like as the piece progresses, the evocation grows stronger, climaxing at 3:30 with the subtle 21:8 harmonic ratio, normally quite dissonant… but in context, simply climactic. A beautiful rendition of a beautiful piece. Bravo, Voces8. Bravo.